Un combat se suffit à lui-même d’être mené, pour justifier son existence, dans de nombreux cas, mais obtenir gain de cause, est la raison logique qui mobilise.
Aller vers la compréhension en passant par le changement de l’ordre établi ou des idées courantes n’est pas une mince affaire, même à force d’arguments irréfutables, et de preuves tangibles.
A part le fait qu’Equitalgérie soit au niveau de la rédaction réduit à un nombre restreint de personnes, c’est en volonté que cette idée s’est sublimé, c’est par l’adhésion énergétique du mental que cette force s’est imposé.
Nous sommes loin d’avoir atteint nos objectifs, très loin même, car l’industrie du cheval n’est pas prête à être lancée dans les conditions actuelles, et afin de mettre en œuvre une ébauche de construction, nous devons passer par la séparation de l’équitation olympique de l’équitation dite traditionnelle, ce qui commence à peine à être à l’ordre du jour…
Cependant, force est de constater, que si l’objectif atteint devait être le seul, il récompense les efforts menés.
Après une série d’actions, dont des articles publiés, principalement sur Equitalgérie, le CSI de Mostaganem, actuellement en cours, aura vu la gratuité des inscriptions pour tout le monde, même pour les algériens, au même titre que les étrangers.
Ce qui aujourd’hui parait évident, logique, équitable, ne l’était pas du tout au départ.
Loin de s’enorgueillir, il semble utile de le souligner, afin de voir la suite du chemin, et permettre de persuader ceux qui en doutent encore, que l’union fait la force, que le juste finit par triompher, que si nous voulons une suite il faut se mobiliser, et surtout qu’en se taisant, on permet à l’impensable de s’installer et de devenir maitre en toute illogique de notre destin.
Plutôt que de nous endormir, et d’étouffer, pensons à aller plus loin, faisons comme un poulain qui voit se déchirer la poche des eaux, avant d’affronter la vie, osons insister pour aller à la séparation des disciplines, afin de donner vie à l’équitation, ce qui sera bénéfique à tous les pratiquants.
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