Faire le silence, ne veut pas dire se taire, et se taire un temps, ne veut pas dire accepter indéfiniment…!
Aujourd’hui, il existe des informations que tout un chacun doit savoir.
Au vu de la loi, l’actuel président de la FEA occupe ce poste de façon illégitime. Des démarches officielles sont entreprises pour mettre à jour cet aspect, et nous y reviendrons rapidement les prochains jours…
Entre temps, quand on nous dit que ce président est venu pour détruire et se servir, on a du mal à prendre au sérieux cette information, cependant dans les faits, après 5 ans, on peut se rendre compte que l’équitation n’a pas progressé d’un iota, au niveau technique, malgré l’acharnement des cavaliers qui ont le mérite de se maintenir, et des investisseurs qui ont mis plus d’argent en jeu que jamais.
La politique de Metidji a tout englouti, leur argent, celui des sponsors, celui du contribuable, donc de l’état, s’attaquant même aux symboles de celui-ci…
En termes de gestion, c’est pareil, la pratique démocratique est en pleine régression. Le bureau sert d’alibi, l’A.G de marche pied, et les décisions viennent d’ailleurs, comme son entraineur, mais toujours pour des intérêts personnels. A point tel que, quand on croit entrevoir un intérêt national, on remarque le conflit d’intérêt.
L’évènement d’actualité et en cours, est le championnat d’Algérie. Mais faites attention, sa dénomination a changé. Qui, pourquoi ? De quel droit et selon quelle règlementation ? C’est un détail, diront certains, un vice de procédure, crieront d’autres, laissant les portes grandes ouvertes aux abus que nous voyons. Comme par exemple, les hauteurs du dernier tour à 140. Les couples non-habitués à ces hauteurs, vont devoir les affronter après 3 jours de compétition sous stress, avec des journées à 2 parcours l’un à la suite de l’autre. Qui a décidé cela ? Le collège technique composé majoritairement d’inconnus ? Le bureau plus silencieux et ignorant des choses technique que jamais, composé de parvenus et de nouveaux parvenus, ou l’AG encore plus éloignée des questions et préoccupations techniques au vu de la majorité de sa composante ?
Il y a fort à parier que ces changements procédés de façon non règlementaire viennent aussi d’ailleurs et pour les intérêts des mêmes personnes, des mêmes destructeurs. Encore le déni et le mépris. De toute façon, avec le sieur Metidji, personne n’a rien à dire, ni les cavaliers, ni les propriétaires, ni les présidents de clubs.
Non réglementaire aussi une liste d’affiliés, venus s’ajouter aux membres de la fédération, et qui prennent part à certaines réunions, et aux compétitions.
Pour information aux cavaliers, à cet effet, le président destructeur de la fédération a été saisi par huissier de justice de ces irrégularités. Des présidents de clubs ont attiré l’attention sur leur démarche légaliste, et sur les risques d’invalidation du championnat en cours puisque des cavaliers et des « structures » qui n’y auraient pas droit vont prendre le départ. Le mot « structure » a grande importance, il est à retenir pour la suite des évènements…
D’autres aussi ont pris le départ, vers une autre destination, pour une manifestation sportive de la même discipline, ne voulant même pas défendre leur titre, et préférant le CSI de Tunis tombant à la même date que ce « championnat élite ».
Un homme politique algérien dont nous tairons le nom, avait promis 2 coupes du monde, mais peut être que cette année Metidji nous offrira 2 championnats…
En tous cas, la FEA est en pleine déconfiture, l’embarcation fuite de partout, mais celui qui gère le bien public comme bien personnel (et encore, il ferait plus attention à ses biens…) ne lâche rien.
Pourquoi ? Intérêt quand tu nous tiens…
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