Le président de la FEA continue à faire ce que bon lui semble, avec les mêmes procédés, la même absence de transparence, et pour l’instant, sans encore rendre de compte…
On a eu l’annulation du CSI de Mostaganem sous prétexte qu’il y a des problèmes dans les clubs.
2017 est semble t-il la seule année de problèmes. Les autres années il n’y en avait pas, donc on a eu des CSI, et puis maintenant qu’on revient vers les CSI, cela voudrait dire qu’il n’y a pas, qu’il n’y a plus de problèmes…
Mais on ne sait toujours pas si ce sont des CSI de la FEA, des CSI privés, et avec quel argent, quelles démarches ces CSI sont organisés. Donc pour la comptabilité pas de changement, on a droit à la même opacité…
On a eu le départ de Mr Le breton, mais sans rendre de compte, sans bilan. On ne sait pas si dans cette affaire de conflits d’intérêts, l’entraineur hors pair a été rejeté par le collège technique fantoche, comme s’il avait quelque chose à dire, ou si les ventes en Europe des chevaux du président n’ont pas suivi, ou si Lebreton lui-même a jeté l’éponge, faute d’avoir été payé. Il semble effectivement d’après des sources généralement bien informées, que le sieur Metidji essaie d’obtenir quelques milliards pour « solder » son compte avec ce cavalier-entraineur- marchand-porte drapeau- vitrine…
Autre questionnement qui s’impose, les rumeurs sur la sélection en vue des jeux méditerranéens. Une liste de cavaliers circule. Qui a fait cette liste, et sur la base de quels critères ?
Une première liste de 15 cavaliers aurait été envoyée au comité olympique, pourquoi n’est-elle pas divulguée ? Dans quel ordre de mérite les cavaliers avaient été classés et par qui ?
Pourquoi ne pas aller définitivement vers la transparence, la clarté, le respect des textes et des personnes, des règles de fonctionnement démocratique comme stipulé par les statuts ?
Les cavaliers sélectionnés auront les appuis et le soutien de leurs pairs, le soucis n’est pas dans les cavaliers, mais dans la façon de faire qui déplait, alors pourquoi la maintenir ?
De toute façon, que ce soit pour mal faire ou pour bien faire (si jamais cela arriverait par accident…), le président fait ce qu’il veut !
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